En ce moment, suite à des travaux de recherche fomentés par certains individus épris des innovations, il est possible de cultiver des pleurotes dans des endroits aménagés à cet effet en milieu urbain.
La myciculture urbaine reste une activité prometteuse
En effet, la myciculture urbaine commence, actuellement, à gagner du terrain. Ce développement sans précédent de la production des champignons a été dû, surtout, à la simplicité de la constitution de son milieu de culture. Au fait, en mélangeant des résidus de café, connus communément sous l’appellation de marc de café, avec ceux des brasseries, on arrive aisément à produire des pleurotes dessus. Ce sont des champignons frais susceptibles d’approvisionner plusieurs restaurants se trouvant dans la ville. D’autant plus, il faut garder à l’esprit que l’activité de la restauration détient jusqu’à présent la première place parmi les activités prometteuses ces temps derniers. C’est la raison pour laquelle, la myciculture urbaine ne cesse d’attirer de nombreux investisseurs pour l’amener à juste titre, à un top niveau de croissance dans un futur proche.
La myciculture : c’est une pratique pleine d’aventure
En fait, l’un des promoteurs de cette pratique de la myciculture urbaine a débuté ses travaux de recherches dans le cadre du projet intitulé PAUSE ou (Production Agricole Urbaine Soutenable et Écologique) au cours de ses études à l’Université de la ville de Montréal. À l’époque, son intérêt s’est focalisé, dans une certaine mesure, dans la découverte d’une technique de production des champignons simples et écologiques. Entre autres, le fait d’utiliser des produits résiduels à l’instar du marc du café ne fait qu’accroître davantage la notoriété du projet en question. Son aspect écologique intéresse le plus. À travers ce concept de conservation de la nature, il se trouve que la concrétisation du programme a été ainsi réalisée avec succès.
La culture urbaine des champignons : c’est un projet bien entretenu
D’ailleurs, le concours de plusieurs partenaires actifs aussi bien techniques que financiers s’est révélé très encourageant dès le début du projet. Il en est de même pour tous les autres préparatifs environnants. En l’occurrence, le processus de la mise en vente de la production a été déjà intégré dans un plan d’action bien adapté aux besoins du marché. Sur ce point, il a été notifié auprès des restaurateurs que les pleurotes produits de cette façon sont classés parmi les meilleures catégories au niveau du marché local. En définitive, cette innovation du mode de culture des champignons tout en mettant l’accent sur la revalorisation des déchets a contribué efficacement à la mise en route du projet.